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Chez Christine Reper
« Le trait révèle l’antérieur. L’intime. L’inconscient aussi. L’indicible, peut-être. Les démons qu’il nous faut affronter, les ténèbres qu’il nous faut traverser, les combats qu’il nous faut mener - les vérités qu’il nous faut déceler -sont ceux du cœur. C’est là que se joue notre devenir, là que se conquiert notre liberté. Ce ne sont point là des landes où la raison nous est d’un grand secours, mais des nuits où seul le courage est notre salut - la vaillance d’avancer malgré la frayeur, de croire en l’aurore malgré la nuit. Tout à rebours, parce qu’elle dessine, parce qu’elle saisit le crayon pour conjurer le chiasme, Caroline atteste l’espoir. » Miguel Mesquita da Cunha